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944. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « JULES LEFÈVRE. Confidences, poésies, 1833. » pp. 249-261

Son œuvre, en style de lapidaire, peut assez bien se comparer à un diamant d’une bonne grosseur, d’un fort poids, d’une matière riche, mais non pas d’une belle eau ; sans transparence et sans limpidité ; avec de chauds éclairs intérieurs qui ont peine à jaillir par une surface embrouillée et grenue.

945. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « FLÉCHIER (Mémoires sur les Grands-Jours tenus à Clermont en 1665-1666, publiés par M. Gonod, bibliothécaire de la ville de Clermont.) » pp. 104-118

Fléchier a dit cela au sujet de Camus, évêque de Belley, qu’il lisait beaucoup ; il comparait son style spirituel et folâtre à une source abondante et mal ménagée dont le bon prélat s’amusait à faire des jets d’eau, tandis qu’on en aurait pu faire un canal charmant et utile.

946. (1871) Portraits contemporains. Tome V (4e éd.) « VICTORIN FABRE (Œuvres publiées par M. J. Sabbatier. Tome Ier, 1845. » pp. 154-168

Ainsi, dans un sens plus léger, Martial parle quelque part de la dame romaine qui, allant aux eaux de Baies, y arrive Pénélope, dit-il, et s’en retourne Hélène :… Penelope venit, abit Helene.

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