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450. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome I « Les trois siecles de la litterature françoise. — B — article » pp. 302-304

On eût souhaité, pour la gloire de cet Auteur, qu’on lui eût également défendu de faire imprimer son Drame d’Albert le Grand, Piece plus médiocre encore que les Druïdes, & dont la langueur de l’action théatrale égale la froideur du style.

451. (1885) Préfaces tirées des Œuvres complètes de Victor Hugo « Préfaces des romans — Préfaces de « Han d’Islande » (1823-1833) — Préface de janvier 1823 »

Il n’informera pas même le lecteur de son nom ou de ses prénoms, ni s’il est jeune ou vieux, marié ou célibataire, ni s’il a fait des élégies ou des fables, des odes ou des satires, ni s’il veut faire des tragédies, des drames ou des comédies, ni s’il jouit du patriciat littéraire dans quelque académie, ni s’il a une tribune dans un journal quelconque : toutes choses, cependant, fort intéressantes à savoir.

452. (1882) Autour de la table (nouv. éd.) pp. 1-376

Essai sur le drame fantastique. […] Autrement, comment concevoir l’immense popularité des drames les plus profonds de Shakespeare ? […] Le drame métaphysique est une forme. […] Les deux premiers actes de Faust feraient une œuvre complète, et l’arrivée de Marguerite dans le drame ouvre déjà un drame nouveau où Faust n’a guère à se développer, et ne se développe guère en effet. […] Byron, au contraire, a porté le drame dans le monde fantastique beaucoup plus que dans le monde réel.

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