La préface de Mademoiselle de Maupin suffirait à elle seule à le mettre au rang des maîtres : elle est, pour le roman, ce que fut pour le drame la préface de Cromwell.
Il voudrait faire des drames et des tapisseries, des dialogues et des notes comme on rempaille des chaises, et que la ligne vînt après la ligne et le vers après le vers comme le cordon venait après le cordon.
Dans la Lettre viii, sur l’activité du sage, il parle des drames mixtes, dont le ton est grave, et le genre moyen entre la tragédie et la comédie.