» mais le mot de Madame de Sabran est plus beau encore d’humilité divine et de tremblement… L’amour d’une pauvre petite femme qui aime dans l’obscurité a rencontré mieux que le génie du grand Shakespeare.
Naturellement, il définirait sa philosophie comme elle est définie dans le traité des choses divines : « J’entends par le vrai quelque chose qui est antérieur au savoir et hors du savoir. » Mais volontairement, artificiellement, il s’acharne à des démonstrations extérieures qui ne partent que du pied des faits et qui y succombent.
Il s’était réfugié dans la pensée divine… Quand la crise de la France du temps, livrée aux démoralisateurs qui ne la démoralisaient que pour la gouverner et qui maintenant la gouvernent, l’appela, par une voix respectée, au secours de l’enseignement chrétien en péril, il n’était plus qu’un contemplateur à l’écart, avec les bras croisés de la méditation solitaire.