La brise qui troublait le feuillage était peut-être sa divine haleine. […] Métanire, curieuse, épie furtivement la divine nourrice. […] Il sait la fin de la vie, il en sait la divine origine ! […] Conversations sublimes du Pan terrestre et du Pan divin ! […] C’est un de ces anges impassibles du Coran qu’on prendrait pour les Muets du Sérail divin.
— Voir dans les Débats d’aujourd’hui (mercredi 24) l’allocution de Cousin à l’Académie des sciences morales, à propos du Spinoza de Saisset (ami de Jules Simon et la phrase sur la divine Providence (avec force inclinaisons de tète).
J. de Strada, hier encore inconnu, et génie entrant aujourd’hui vivant dans l’immortalité, nous offre les premiers fragments d’une œuvre géante, d’une épopée colossale qui sera pour notre pays le pendant de l’œuvre de Dante pour l’Italie du xive siècle, avec cette différence que la Divine comédie a seulement quinze mille vers, tandis que l’Épopée humaine en a déjà cent mille et en aura quatre fois autant.