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877. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « M. ULRIC GUTTINGUER. — Arthur, roman ; 1836. — » pp. 397-422

Compatriote et de cette famille poétique de Vauquelin de La Fresnaye, de Racan et de Segrais, il aurait aimé du premier, s’il l’avait connu, le tendre sonnet de Damète et d’Amaranthe ; la paresse élégante et le goût sans travail du second lui semblaient dévolus, et il eût bien été capable de dire en une idylle, si Segrais ne l’avait fait déjà : O les discours charmants ! […] pourquoi dans tes yeux cette douleur rêveuse, Ce trouble en tes discours ?

878. (1870) Portraits contemporains. Tome II (4e éd.) « DE LA LITTÉRATURE INDUSTRIELLE. » pp. 444-471

Avec plus d’un illustre, le discours ne sort plus de là : c’est un cri de misère en style de haute banque et avec accompagnement d’espèces sonnantes. […] Avec nos mœurs électorales, industrielles, tout le monde, une fois au moins dans sa vie, aura eu sa page, son discours, son prospectus, son toast, sera auteur.

879. (1870) Portraits contemporains. Tome III (4e éd.) « M. EUGÈNE SCRIBE (Le Verre d’eau.) » pp. 118-145

Scribe nous soutenir, comme il l’a fait dans son discours d’Académie, que la comédie, pour réussir, n’a pas besoin de ressembler. […] Ainsi, dans son discours à l’Académie, n’a-t-il pas eu l’air de prétendre que le théâtre est juste le contre-pied de la société ?

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