Des Prédicateurs françois & premiérement des discours de morale, 237 §. […] Des discours & des éloges académiques, 283 Chap.
J’ai lu avec un vif intérêt ce qu’on nous dit dans les journaux de votre discours. […] Chaque discours de lui désormais était au prix d’un visible et touchant épuisement. […] Degérando fils, et qui a fait le sujet d’un discours à l’Académie de Metz en mai 1864. […] Le discours qui avait pour sujet l’Influence de la Révolution sur l’éloquence française. […] Duvergier de Hauranne ; on y verra notamment, au tome IV, pages 67-69, le discours de Camille Jordan sur la liberté individuelle ; p. 255-257, son discours sur la juridiction du jury en matière de presse ; p. 294, son discours sur la loi du recrutement ; p. 406-409, son écrit intitulé La session de 1817 ; — puis au tome V, après une absence causée par la maladie, pages 458-460, son discours de rentrée contre le projet de loi sur la presse, discours qualifié d’acte de délire par M. de Serre ; p. 539-541, son discours pour un amendement à la loi électorale ; — enfin, au tome VI, page 34, sa lettre à M.
On ne trouva pas son mérite digne de sa réputation : son premier discours, qui était contre les libertins, et qu’il avait, dit M. de Meaux, assez mal amené à l’évangile du jour, parut faible : on loua sa piété et sa modestie, sa voix douce, son geste réglé, jusqu’à lui accorder, contre l’avis de quelques-uns, la grâce de l’élocution : on trouva de la politesse dans son discours, des termes choisis et de l’onction : il fut très bien écouté, et le roi et la Cour en furent édifiés. […] Tant de discours amoureux, tant de descriptions galantes, une femme qui ouvre la scène par une tendresse déclarée et qui soutient ce sentiment jusqu’au bout, et le reste du même genre, lui fit dire que cet ouvrage était indigne non seulement d’un évêque, mais d’un prêtre et d’un chrétien… Voilà ce que M. de Meaux pensa de ce roman dès le commencement ; car ce fut là d’abord le caractère de ce livre à Paris et à la Cour, et on ne se le demandait que sous ce nom : le roman de M. de Cambray. » Et le dimanche 14 mars de la même année : Il paraît une nouvelle critique de Télémaque, meilleure que la précédente, où le style, le dessein et la suite de l’ouvrage, tout enfin est assez bien repris, et dont on ignore l’auteur. […] L’opulence de sa maison est pour la grande place qu’il remplit et pour des bienséances d’état ; ce sont des dehors qui l’environnent ; mais, dans sa personne, tout est simple et modeste comme auparavant ; ses manières même et ses discours sont, comme autrefois, pleins d’affabilité ; c’est, en effet, la même personne que j’ai eu l’honneur de pratiquer à Germigny, il y a dix-sept ou dix-huit ans et plus… Jugez si je suis content de mon voyage ! […] Ce discours était très tendre et très édifiant, nous dit Le Dieu, et M. de Meaux l’a prononcé avec toutes ses grâces, et aussi avec une voix nette, forte, sans tousser ni cracher d’un bout à l’autre du sermon : en sorte qu’on l’a très aisément entendu jusqu’aux portes de l’église, chacun se réjouissant de lui voir reprendre sa première vigueur.