Ce serait intitulé « Se torturer savamment », et cela deviendrait un problème à résoudre, car c’est chose atrocement difficile, que de se martyriser soi-même, par dilettantisme de courage et de volonté. […] René Ghil, mais il serait difficile de n’être point saisi de respect, à la vue de l’œuvre gigantesque qu’il poursuit depuis vingt-cinq ans. […] Cette ouverture d’une incommensurable longueur, mal dessinée et qui forme une succession infinie de combinaisons sonores, dont il est bien difficile d’expliquer le sens… » De Berlioz, « l’éminent critique musical écrivit ceci : « L’auteur de la Symphonie fantastiqueest la dupe de son procédé : il se pipe lui-même ; il s’enivre de bruit ; il croit avoir fait merveille parce qu’il fait attaquer par vingt trombones un dessin de basses des plus médiocres, mais il n’a qu’à faire jouer, par deux cents instruments l’air « J’ai du bon tabac », ou entonner par deux cents choristes le plus indigne Pont-Neuf, il obtiendra des effets analogues… « M.
Ils ne disent rien en style simple ; ils ne cherchent qu’à entasser des choses subtiles, recherchées, difficiles à inventer et à comprendre ; toutes leurs expressions sont raffinées, imprévues, extraordinaires ; ils outrent leur pensée et la changent en caricature.
Ponroy a en Portefeuille pas mal de tragédies dont le placement est devenu difficile.