L’auteur le destine à l’édification des meres, & il ajoute que toute fille est perdue si elle en lit seulement quatre pages. […] Il faut donc supprimer aussi tous ces grands ouvrages destinés par leur suprême mérite à se perpétuer aussi long-temps que les siecles ?
Et qu’on ne dise pas qu’elle mourut à temps ; car elle eut pour son dernier général Souvarof, lequel, s’il ne devait pas vaincre en définitive, allait promener le drapeau russe avec gloire là où il ne s’était jamais vu encore, et balancer tout au moins les destinées.
Il était seulement indécis sur le choix du lieu où il insérerait cet article, ne pouvant, pour des raisons que l’on comprendra en le lisant, le destiner au Temps.