Il serait injuste aussi de ne point signaler comme une page élevée et robuste les derniers vers de l’Errante.
Or voici une affiche de Lautrec, sa dernière : une femme insignifiante de visage, élancée, bien faite et fort élégante parmi ses plumes et ses fourrures, semble, de son manchon tendu, indiquer un chemin à un imaginaire questionneur.
Nous l’inviterons enfin à purger son style d’une infinité d’expressions grossieres, dures, virulentes, qui révoltent les esprits les moins délicats, telles que celles-ci prises dans le tome VI & dernier de la Collection de ses Œuvres.