Et, si, par quelque honneur inespéré (le plus grand honneur que puisse atteindre un souverain), cet âge d’or des poésies, des beaux-arts et des grands artistes, peintres, architectes, sculpteurs, poètes, musiciens, philosophes, historiens, se développe à l’ombre unique d’un trône éclatant de toutes les gloires pacifiques, il arrive alors qu’en effet l’historien de ces époques choisies peut écrire un très beau livre dans lequel le commencement, le milieu et la fin se tiennent de telle façon, qu’il serait impossible de les séparer, tout comme il serait impossible de séparer Louis XIV de Molière et de Racine, François Ier de Clément Marot, Shakspeare de la reine Élisabeth, Horace de l’empereur Auguste, Suétone et Tacite des tyrans dont ils racontent les crimes abominables ! […] Alors, dans un magnifique tableau, comme en peut tracer l’éloquent historien de la Restauration lettrée, on eût vu se développer chacun à sa place, à son heure, en bon ordre (lucidus ordo) : les poètes, les philosophes, les historiens, les auteurs dramatiques, les romanciers qui ont été la constante préoccupation de ce siècle des tempêtes et des orages !
Mais c’est l’usage qu’elles font de l’éventail qui développe parfaitement leurs ruses & leurs petites supercheries….
Au milieu de la cour du nord du temple, défendue par une palissade, avait été développé un papier fait exprès et ayant plusieurs fois l’épaisseur du papier servant à couvrir les manteaux au Japon.