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1945. (1841) Discours aux philosophes. De la situation actuelle de l’esprit humain pp. 6-57

Ce ne sont plus, comme dans les siècles précédents, quelques accents délicats et purs, quelques retours heureux à l’antiquité, de l’analyse et de l’éloquence ; c’est la poésie elle-même qui a paru.

1946. (1887) Journal des Goncourt. Tome II (1862-1865) « Année 1865 » pp. 239-332

L’idée est fine, délicate, acérée, quelquefois subtile, toutefois expliquée, éclairée par des mots qui se font attendre, mais qui ont toujours la bonne fortune des expressions d’un joli esprit étranger parlant le français.

1947. (1898) Manuel de l’histoire de la littérature française « Livre II. L’Âge classique (1498-1801) — Chapitre premier. La Formation de l’Idéal classique (1498-1610) » pp. 40-106

. — Il n’a pas non plus laissé de trace bien profonde dans l’histoire de l’Église ; — n’ayant été fait évêque de Lisieux qu’à plus de soixante ans ; — mais il a beaucoup aimé les lettres ; — et nul avant lui n’a fait faire plus de progrès à l’éloquence française ; — par ses traductions d’Eschine, de Démosthène, de Cicéron [Pour et Contre Ctésiphon et Pour Milon] ; — par la collection de ses Arrêts rendus en robe rouge ; — et par le sentiment très délicat de ce qui manquait encore à la langue [Cf. son Traité de l’éloquence française, et des raisons pourquoi elle est demeurée si basse].

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