Charles Fuster C’est, croyons-nous, de François Coppée qu’il s’inspire surtout, notamment dans quelques petits récits d’ailleurs bien menés et intéressants.
D’ailleurs, il est jeune et il souffre. […] D’ailleurs, la Grèce honorait les athlètes. […] Je l’en loue, d’ailleurs, et l’en admire. […] Ce serait d’ailleurs une effroyable sagesse. […] Je n’y ai d’ailleurs aucun mérite.
Gustave Kahn Le roman en vers n’avait plus guère tenté personne depuis l’Édel de Paul Bourget, et pas même Bourget lui-même ; d’ailleurs Édel, comme l’Olivier de François Coppée, est plutôt une nouvelle qu’un roman en vers.