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1335. (1865) Causeries du lundi. Tome V (3e éd.) « Portalis. Discours et rapports sur le Code civil, — sur le Concordat de 1801, — publiés par son petit-fils — II. » pp. 460-478

En y apportant sa prudence naturelle et la précision propre à la race française, Portalis voyait ces grandes questions de controverse s’évaporer en fumée et ne laisser pas même, au fond du creuset, des cendres : C’est une chose plaisante, disait-il, de voir des écrivains, d’ailleurs distingués, se battre pour des abstractions ou pour des logogriphes ; ce qu’il y a de plus étonnant, c’est de voir le public prendre part à des disputes qu’il n’entend pas. […] L’ouvrage, d’ailleurs, à le bien voir en lui-même, a son originalité réelle.

1336. (1865) Causeries du lundi. Tome VI (3e éd.) « Monsieur Étienne, ou une émeute littéraire sous l’Empire. » pp. 474-493

Étienne, ramena d’un mot les choses dans leurs justes bornes ; il loua d’ailleurs le récipiendaire en des termes dignes et d’une parfaite convenance : « Les applaudissements du public, disait-il, ont déterminé nos suffrages plus que la bienveillance des illustres amis dont votre jeunesse a droit de s’honorer. » M.  […] Il ajoutait d’ailleurs qu’il avait commencé sa pièce seul, étant en Pologne, et plaisantait fort ses ennemis qui l’accusaient de plagiat.

1337. (1865) Causeries du lundi. Tome VII (3e éd.) « Regnard. » pp. 1-19

Bref, sans entrer dans les détails du récit qui, d’ailleurs, ne manque pas de grâce et de délicatesse, Regnard et la belle Elvire sont délivrés ; le mari qu’on croit mort est plus qu’oublié. […] Il y montrait la jeunesse du temps telle qu’il l’a peinte d’ailleurs en maint endroit de ses comédies, les hommes brutaux, peu complaisants, avares, négligés, débauchés, ivrognes et joueurs.

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