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921. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « II. M. Capefigue » pp. 9-45

Légère, spirituelle, — quand elle l’est, — curieuse du vice autant que du bric-à-brac de l’époque dont elle est affolée, parce que ce bric-à-brac profané l’a fait penser au vice dont il semble porter l’empreinte, cette école historique enfantine, mais gâtée, nous l’avons dit, n’est pas et ne saurait être, à cause même de sa frivolité, la plus dangereuse des écoles d’histoire, vouées à la glorification du xviiie  siècle. […] Telle est la curieuse manière dont M. 

922. (1887) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (deuxième série). IX « Michelet » pp. 167-205

À cette époque-là, tout le monde fut frappé, en lisant le très beau récit de Michelet (car il est très beau), de l’insistance curieuse et troublée avec laquelle l’historien s’arrêtait sur le secret qui devait rester entre la jeune fille et Dieu, sur le mystère humain du virginal Archange dont le sang de la femme n’a jamais, dit-on, terni la splendeur. […] IX Un autre livre de Michelet, qu’on a publié sous le titre de l’Étudiant, est son Cours de 1847, publication très curieuse et très instructive, mais ceux qui l’ont faite se doutaient-ils de sa portée ?

923. (1899) Les œuvres et les hommes. Les philosophes et les écrivains religieux (troisième série). XVII « Du docteur Pusey et de son influence en Angleterre »

Ces travaux curieux, ces espèces de statistiques, fort importantes, selon nous, en matière de prosélytisme, car on ne sait pas assez quelle influence la personnalité humaine exerce sur la personnalité humaine, et quelle puissante fascination c’est que l’exemple, nous n’avons point à les exposer. […] Chose curieuse !

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