À côté d’eux, il y a ceux qui sont seulement curieux de la nature et qui nous demandent si nous sommes en état de la leur mieux faire connaître.
On va chez Salis par mode et comme on se rend à la ménagerie, avec l’espoir d’y rencontrer quelques bêtes curieuses.
Il oublie leur présence curieuse et dangereuse, non seulement quand il écrit, mais encore quand il vit.