La Critique sera encore plus indulgente, si elle considere l'exactitude avec laquelle le Traducteur a rendu par-tout le sens d'Homere, que Madame Dacier n'a pas toujours saisi. […] On y reconnoît sans interruption l'Ecrivain élégant & plein de goût, le Critique judicieux & familiarisé avec les bons modeles, le Philosophe qui pense & qui sait intéresser le Lecteur en l'instruisant.
Les critiques de bonne foi, ceux qui n’aiment ni le paradoxe, ni l’injustice, ceux-là ne se sont pas trompés sur la portée et la signification de nos livres. […] Je ne puis éprouver également qu’une très sincère gratitude pour les critiques qui, m’opposant des réserves m’ont fait l’honneur de m’éclairer dans leurs objections, MM.
Mais ce n’est pas tout, mon cher Silvestre… Après que l’ami a appelé l’ami, le critique, à son tour, appelle le critique.