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566. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l'esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu'en 1781. Tome IV « Les trois siecles de la littérature françoise.ABCD — R. — article » pp. 107-108

La Critique sera encore plus indulgente, si elle considere l'exactitude avec laquelle le Traducteur a rendu par-tout le sens d'Homere, que Madame Dacier n'a pas toujours saisi. […] On y reconnoît sans interruption l'Ecrivain élégant & plein de goût, le Critique judicieux & familiarisé avec les bons modeles, le Philosophe qui pense & qui sait intéresser le Lecteur en l'instruisant.

567. (1905) Les ennemis de l’art d’écrire. Réponse aux objections de MM. F. Brunetière, Emile Faguet, Adolphe Brisson, Rémy de Gourmont, Ernest Charles, G. Lanson, G. Pélissier, Octave Uzanne, Léon Blum, A. Mazel, C. Vergniol, etc… « Conclusion »

Les critiques de bonne foi, ceux qui n’aiment ni le paradoxe, ni l’injustice, ceux-là ne se sont pas trompés sur la portée et la signification de nos livres. […] Je ne puis éprouver également qu’une très sincère gratitude pour les critiques qui, m’opposant des réserves m’ont fait l’honneur de m’éclairer dans leurs objections, MM.

568. (1865) Les œuvres et les hommes. Les romanciers. IV « À Monsieur Théophile Silvestre »

Mais ce n’est pas tout, mon cher Silvestre… Après que l’ami a appelé l’ami, le critique, à son tour, appelle le critique.

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