La critique générale que nous adressons à M. […] Notre critique n’a plus de sens. […] Avoir un critique, c’est proprement ce qui d’un groupe d’écrivains forme une école. […] Le moraliste, à défaut du critique, n’aurait-il rien à y reprendre ? […] La situation faite au gouvernement nouveau par le règne qui finissait, était sans doute critique.
Le numéro de la Réforme qui contient l’article de Félix Pyat sur le prince des critiques a été si vite épuisé qu’on vient de réimprimer l’article en brochure au prix de quinze centimes (trois sous), et il est à tous les étalages : c’est une exposition au pilori, c’est une exécution publique à laquelle chacun assiste en se disant : c’est bien fait, c’est bien vrai !
Et c’est ainsi que, romancier, critique, poète, conteur et lettré, Jean Bertheroy justifie, par un labeur artiste et par une pensée honnête, les lauriers académiques, l’estime des écrivains et la confiance de ses lecteurs.