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579. (1900) La vie et les livres. Cinquième série pp. 1-352

Ses mots sont frottés de couleur. […] Je ne louerai point de nouveau la couleur, le relief, la netteté de ses peintures. […] Point de salut sans couleur locale. […] Il aimait les jolies couleurs et les lignes belles. […] Pour lui, l’univers se para de couleurs fraîches.

580. (1870) Portraits contemporains. Tome IV (4e éd.) « M. FAURIEL. — POST-SCRIPTUM. » pp. 269-272

Ces graves études d’historiens, ces portraits aux teintes plus sombres qui ont insensiblement succédé aux premières et poétiques couleurs, en attachant sévèrement notre attention, ne suffisent pas toujours à satisfaire en nous ce qui s’y remue encore du passé.

581. (1796) De l’influence des passions sur le bonheur des individus et des nations « Section première. Des passions. — Note qu’il faut lire avant le chapitre de l’amour. »

Ce chapitre, me dira-t-on, est d’une couleur trop sombre, la pensée de la mort y est presque inséparable du tableau de l’amour, et l’amour embellit la vie, et l’amour est le charme de la nature.

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