Ses mots sont frottés de couleur. […] Je ne louerai point de nouveau la couleur, le relief, la netteté de ses peintures. […] Point de salut sans couleur locale. […] Il aimait les jolies couleurs et les lignes belles. […] Pour lui, l’univers se para de couleurs fraîches.
Ces graves études d’historiens, ces portraits aux teintes plus sombres qui ont insensiblement succédé aux premières et poétiques couleurs, en attachant sévèrement notre attention, ne suffisent pas toujours à satisfaire en nous ce qui s’y remue encore du passé.
Ce chapitre, me dira-t-on, est d’une couleur trop sombre, la pensée de la mort y est presque inséparable du tableau de l’amour, et l’amour embellit la vie, et l’amour est le charme de la nature.