Toutes les idées de ses contemporains sur la vie, toutes leurs tentatives pour la définir ne sont en quelque sorte que l’écho ou la paraphrase de sa doctrine.
Un poète contemporain a caractérisé ce sentiment de la personnalité de l’art et de l’impersonnalité de la science par ces mots : l’art, c’est moi ; la science, c’est nous. […] D’après cette théorie établie et soutenue par les chimistes contemporains les plus illustres, les animaux étaient incapables de produire du sucre dans leur organisme.
En dehors des cinq ou six grandes figures tragiques qu’elle avait fidèlement restituées, elle a peu favorisé le théâtre contemporain, non par crainte d’impuissance, mais par sympathie, peut-être par reconnaissance pour les vieux poëtes, auxquels elle réservait de préférence ses souffles les plus puissants.