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1743. (1890) Causeries littéraires (1872-1888)

Gaucher joignait des connaissances étendues et solides ; et il n’avait pas moins de bon sens que d’esprit.

1744. (1903) La vie et les livres. Sixième série pp. 1-297

Ne soyons pas inclément à ce lamentable confiteor : Je dois observer que mes collègues et moi, nous étions entièrement étrangers à la connaissance des lois… Pour comble de malheur, le rapporteur et le greffier n’avaient guère plus d’expérience que nous… Je ne prétends justifier ni la forme ni le fond du jugement ; mais je veux montrer… au milieu de quel concours de circonstances il a été rendu… Je veux éloigner de moi et de mes collègues l’idée que nous ayons agi comme des hommes de parti.

1745. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

Il faut avant tout que la nature ait donné au comédien, les qualités de la personne, à savoir : la figure, la voix, le jugement, la finesse ; il obtiendra plus tard, de l’étude et d’un travail assidu, l’usage du monde, l’expérience du théâtre et la connaissance du cœur humain.

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