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514. (1900) Taine et Renan. Pages perdues recueillies et commentées par Victor Giraud « Taine — V »

Si chacun peut en dire autant de soi, cela ira bien pour tous. »‌ Vous voyez comment il faudrait très légèrement transformer la phrase pour qu’un de ces grands individus, que Taine traite de fous furieux, la reprît : « Nous ne pouvons pas tous servir l’humanité de la même façon… Marc-Aurèle, Spinoza, Gœthe, c’est très bien… accepter les lois de la nature, c’est parfait… Mais contrarier la nature, l’exalter, c’est un magnifique dressage… » Les grands hommes que je viens de citer sont des forces conservatrices ; elles s’efforcent de maintenir ; elles pourraient enrayer le mouvement vers l’inconnu, qui est la vie même.

515. (1926) La poésie de Stéphane Mallarmé. Étude littéraire

Je dois citer cette page intense et pleine, de la Musique et les Lettres. […] Taine en cite de Balzac, de Gautier130. […] Je ne cite que le premier quatrain. […] Relisons de près la dernière phrase citée. […] La page même que je viens de citer en est un exemple.

516. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

On le citait parmi les bons déclamateurs. […] A présent, me sera-t-il permis de citer le vieux proverbe : Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es ? […] Dusaulx, et une infinité d’autres, entre lesquels on pourrait citer l’auteur de l’Essai sur la vie et sur les écrits de Sénèque. […] Il cite encore, dans la Lettre LXXII, une belle comparaison d’Attale. […] Le passage que je viens de citer se trouve à la page 46, édition de Paris, 1770.

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