Si chacun peut en dire autant de soi, cela ira bien pour tous. » Vous voyez comment il faudrait très légèrement transformer la phrase pour qu’un de ces grands individus, que Taine traite de fous furieux, la reprît : « Nous ne pouvons pas tous servir l’humanité de la même façon… Marc-Aurèle, Spinoza, Gœthe, c’est très bien… accepter les lois de la nature, c’est parfait… Mais contrarier la nature, l’exalter, c’est un magnifique dressage… » Les grands hommes que je viens de citer sont des forces conservatrices ; elles s’efforcent de maintenir ; elles pourraient enrayer le mouvement vers l’inconnu, qui est la vie même.
Je dois citer cette page intense et pleine, de la Musique et les Lettres. […] Taine en cite de Balzac, de Gautier130. […] Je ne cite que le premier quatrain. […] Relisons de près la dernière phrase citée. […] La page même que je viens de citer en est un exemple.
On le citait parmi les bons déclamateurs. […] A présent, me sera-t-il permis de citer le vieux proverbe : Dis-moi qui tu hantes, je te dirai qui tu es ? […] Dusaulx, et une infinité d’autres, entre lesquels on pourrait citer l’auteur de l’Essai sur la vie et sur les écrits de Sénèque. […] Il cite encore, dans la Lettre LXXII, une belle comparaison d’Attale. […] Le passage que je viens de citer se trouve à la page 46, édition de Paris, 1770.