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536. (1897) La vie et les livres. Quatrième série pp. 3-401

quelle jolie pause dans la fraîcheur de la brise matinale, sous un ciel de nuance fine !) […] Le ciel est gris comme le style d’un homme politique. […] À côté, une autre femme surgit du fond des abîmes et se hisse vers le ciel, l’étoile au front. […] De là ces élans de poésie sentimentale, qui dirigent vers le ciel les yeux bleus des misses. […] Ce jour-là, un soleil de fête rayonnait au ciel et répandait sur la ville une tiédeur par qui les âmes étaient adoucies et amollies.

537. (1910) Variations sur la vie et les livres pp. 5-314

Le ciel était pur, à peine taché de petits nuages. […] C’est l’Eden où séjournent les justes avant de monter au ciel. […] Elle se montra et rosit le ciel. […] Le Pic-Du-Midi d’Ossau escalade le ciel. […] Nous arrivions à peine sur le plateau, lorsque, tout à coup, le ciel se rembrunit.

538. (1903) Le mouvement poétique français de 1867 à 1900. [2] Dictionnaire « Dictionnaire bibliographique et critique des principaux poètes français du XIXe siècle — G — Goudeau, Émile (1849-1906) »

. — Poèmes parisiens : Fleurs du bitume, Ciels de, lit, Vache enragée, Fins dernières, La Vie fâchée, etc.

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