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635. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — G — article » pp. 380-382

Mais sa conduite, toujours chrétienne, détruisit bientôt les calomnies répandues contre lui.

636. (1772) Bibliothèque d’un homme de goût, ou Avis sur le choix des meilleurs livres écrits en notre langue sur tous les genres de sciences et de littérature. Tome II « Bibliotheque d’un homme de goût — Chapitre XIV. Des Livres sur le Commerce & sur ce qui y a rapport. » pp. 329-332

LE Commerce est le lien qui unit les deux hémisphères ; c’est par lui que les Noirs & les Blancs, les Turcs & les Chrétiens ne forment qu’un même peuple.

637. (1870) Causeries du lundi. Tome XIII (3e éd.) « Le maréchal de Saint-Arnaud. Ses lettres publiées par sa famille, et autres lettres inédites » pp. 412-452

C’était le moment du plus grand enthousiasme et de la croisade chrétienne universelle contre les Turcs. […] Il y a une mosaïque (car on est, à Orléansville, sur une ancienne ville romaine), une mosaïque admirable, qui servait d’enseigne au tombeau de saint Reparatus : « Je veux, dit-il, dans un sentiment de Génie du christianisme que nous lui retrouverons plus tard, je veux faire bâtir l’église chrétienne au-dessus. […] Au bivouac de Raz-Gueber, en pleins Nemenchas, il rencontre des ruines de temples chrétiens : son imagination s’exalte, ce rayon de Génie du christianisme, auquel nous l’avons déjà vu enclin et accessible, revient le frapper : « J’ai un aumônier, l’abbé Parabère, que je viens de faire recevoir chevalier de la Légion d’honneur devant la deuxième brigade. Il va nous dire la messe en face d’un vieux temple chrétien. […] Nous avons eu de longues conférences, et dimanche je communierai comme un vrai chrétien.

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