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1123. (1857) Causeries du lundi. Tome IV (3e éd.) « Chamfort. » pp. 539-566

Me trouvant avoir réuni dans le cours de mes lectures beaucoup de notions précises sur son compte, je demande à parler de lui ici après d’autres qui l’ont fait déjà fort bien, mais en le prenant au point de vue qui est celui de toutes ces études. […] Il saurait de plus, s’il me connaissait, que mes mœurs sont probablement beaucoup plus populaires et égalitaires que celles de beaucoup de républicains à enseigne.

1124. (1891) Journal des Goncourt. Tome V (1872-1877) « Année 1877 » pp. 308-348

Coquelin aîné racontait qu’étant tout jeune, et gagnant seulement dix-huit cents francs par an, et ayant, avec beaucoup de peine, mis de côté deux cents francs, il avait demandé à Diaz de lui faire un tableautin. […] Zola répond à peu près ceci : « Vous, vous avez une petite fortune qui vous a permis de vous affranchir de beaucoup de choses… moi, ma vie, j’ai été obligé de la gagner absolument avec ma plume, moi j’ai été obligé de passer par toutes sortes d’écritures, oui d’écritures méprisables… Eh !

1125. (1869) Portraits contemporains. Tome I (4e éd.) « George Sand — George Sand, Valentine (1832) »

Il est à regretter qu’ayant su si bien conduire le roman à son point de maturité, l’auteur en ait développé la seconde moitié avec une précipitation qui laisse beaucoup de traces.

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