On n’a pas eu le temps de se dire trois paroles dans les visites, qu’on est tout étonné de voir venir la collation, ou tout au moins quelques brocs de vin accompagnés d’une assiette de croûtes de pain hachées avec du poivre et du sel : fatal préparatif pour de mauvais buveurs.
gardez-vous du beurre de coco ; ça infecte une maison, au moins pendant trois jours.
Et pas un seul d’entre eux ne posséda une seule des qualités auxquelles, précisément, ils se vantaient de sacrifier toutes les autres. » Mais l’état de la poésie française, à cette date (disons de 1860 à 1866), a été exprimé beaucoup mieux que je ne saurais le faire dans une page un peu folle et humoristique, toute charmante et si belle parfois, qu’on me saura gré de transcrire : « En ce temps-là, un barde était tenu, avant toutes choses, de pleurer sans fatigue pendant au moins deux cents vers, et dispensé largement, du reste, d’expliquer pourquoi il pleurait. […] Aujourd’hui même, un poète est mal vu dans le monde quand il n’a pas au moins une vieille tante à pleurer.