Roland et Olivier sont aux prises dans un duel formidable ; Olivier brise son épée ; Roland attend qu’on lui en donne une autre ; il ne veut pas user de son avantage. […] Mais l’historien n’a point à faire un choix entre ces conceptions diverses ; il aura rempli tout ce qu’on est en droit d’attendre de lui, s’il a su relever les effets littéraires différents qui en découlent.
Mes feuilles sont mon théâtre, mon champ de bataille ; c’est là où j’attends mes ennemis et où je dois repousser leurs coups. […] La bataille à peine gagnée à la Comédie-Française, les ardents vainqueurs s’empressent d’accourir aux Tuileries, où les attendaient les membres les plus influents et les plus rassis du Sénat philosophique, le sage Tacite (d’Alembert), le prudent Théophraste (Duclos).
Pour le moment, j’attends dans une jolie petite ville de Bourgogne l’ordre de partir faire bravement mon devoir de Français et de bon citoyen, ordre qui ne tardera guère… Si je n’en reviens pas, conservez le souvenir de votre instituteur qui vous a bien aimés et qui vous embrasse tous en vous invitant à crier ; « Vivent les Républiques et les Peuples libres ! […] Il attend ses supérieurs à l’épreuve. » En conformité de ces vues, j’ai entendu un prêtre sous-officier raconter que dans certaines compagnies les hommes se fient de préférence à certains d’entre eux, parfois de simples soldats, qui ont montré l’art de se débrouiller.