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1739. (1814) Cours de littérature dramatique. Tome III

Le critique ne dira point en face à un poète : « Vous avez fait une mauvaise tragédie, à moins que ce ne soit son ami, parce que dans la société c’est à l’homme et non pas au poète qu’on parle ; mais il fera part au public de son opinion sur cette tragédie, parce que tout écrivain doit au public la vérité, et qu’il est de l’intérêt des arts que chacun en puisse dire librement son avis sans blesser la politesse due en particulier à chaque artiste.

1740. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

A Rome, aujourd’hui, du moins je m’en suis laissé faire le conte, une jeune fille va à l’église, se confesse, entend la messe, communie, et, au sortir de la sainte table, sa mère l’accompagne dans l’atelier d’un artiste de vingt-deux ans, à qui elle sert de modèle.

1741. (1906) L’anticléricalisme pp. 2-381

Thézard, rapporteur de la commission, mit une fois de plus en avant « l’unité morale », en affirmant qu’avant 1850 l’unité morale existait en France ; mais que depuis 1850 elle n’existait plus, ce qui était d’un généralisateur hardi et d’un artiste amoureux de la symétrie, mais d’un historien peut-être insuffisamment informé.

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