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1206. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Œuvres littéraires de M. Villemain (« Collection Didier », 10 vol.), Œuvres littéraires de M. Cousin (3 vol.) » pp. 108-120

Il est homme à s’occuper des textes, à rechercher des manuscrits, à s’intéresser à des scholies et à des commentaires, à les transcrire jusqu’au dernier mot, à ne faire grâce à lui ni aux autres d’aucune variante ni d’aucune leçon ; et tout à travers cela, il s’élève, il embrasse, il généralise, il a des conceptions d’artiste et des verves d’orateur.

1207. (1887) Journal des Goncourt. Tome I (1851-1861) « Année 1854 » pp. 59-74

Peu d’artistes, peu d’hommes de lettres, je me rappelle seulement un vaudevilliste.

1208. (1761) Querelles littéraires, ou Mémoires pour servir à l’histoire des révolutions de la république des lettres, depuis Homère jusqu’à nos jours. Tome II « Querelles générales, ou querelles sur de grands sujets. — Troisième Partie. De la Poësie. — La déclamation. » pp. 421-441

On ne chicane Riccoboni sur aucune des choses sensées qu’il dit par rapport à la différente manière de débiter un sermon, un panégyrique, une oraison funèbre ; mais on n’approuve point son idée de vouloir qu’il en fut des prédicateurs, comme des artistes & des ouvriers, qu’on admet à l’essai, & auxquels on n’accorde l’exercice public de leur profession qu’après avoir fait preuve de talent.

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