Bonaparte, qui ne s’arrêta pas à Turin, lui fit dire de se rendre à Paris. […] Murat combla d’égards Consalvi ; Cacault fut obligé de s’arrêter ; Consalvi continua seul sa route pour Paris. […] Ainsi, continua Bernier, il exige ces changements, parce que, toute réflexion faite, il n’est pas satisfait des stipulations arrêtées. […] « La chose ainsi arrêtée entre le Pape et moi, le même courrier extraordinaire portant à Paris le nouveau refus de Pie VII à propos des grandes affaires qui étaient l’objet des convoitises ambitieuses de l’empereur Napoléon, lui porta en même temps l’acceptation pontificale de mon éloignement du ministère, et la nomination de mon successeur. […] La fonction consistait à entrer lentement un à un, à s’arrêter au pied du trône, à faire une profonde inclination et à sortir par la porte de la salle suivante.
Cependant, quelques semaines plus tard, j’en vis arriver du nord, et qui s’arrêtèrent un moment, comme pour se reposer ; puis ils continuèrent aussi dans la direction du sud. […] J’arrêtai mon cheval pour juger de la distance à laquelle l’oiseau pouvait être, puis, après un moment de réflexion, je dis à mon ami que le pont n’était pas à plus de cent pas de nous, bien qu’il nous fût tout à fait impossible de l’apercevoir. […] Quand il s’arrête sur la branche, c’est d’un air fier et résolu ; il se redresse à la manière des faucons, jette un regard autour de lui, se secoue les ailes en frémissant, et fouette de la queue qui se meut comme par un ressort. […] Vous diriez que la nature, embarrassée de ses richesses, s’est arrêtée un jour pour les répandre de son sein sur cet heureux pays. […] Il contemple attentivement toute l’étendue des eaux ; souvent son regard s’arrête sur le sol ; il observe, il attend ; tous les bruits qui se font entendre, il les écoute, il les recueille ; le daim, qui effleure à peine les feuillages, ne lui échappe pas.
Le vieux gendarme Kelz, avec son grand chapeau à cornes, se promenait de long en large ; dès qu’il me vit, il s’arrêta comme émerveillé, puis il s’écria : « À la bonne heure ! […] Sous la halle, dans l’ombre, nous nous arrêtâmes en nous embrassant. […] J’aurais bien voulu m’arrêter là quelques instants ; mais la troupe marchait, il fallut suivre. […] … » Et malgré le bruit des canons il s’arrêta, se retourna, et m’aperçut au pied d’un arbre. […] … arrêtez !