Ne nous en plaignons pas à la légère : il y a peut-être des raisons qui justifient cette inégalité, celle-ci par exemple, qu’après tout il y a plus de bons romans que de chefs-d’œuvre de la scène ; et puis, cette autre encore que l’homme — animal politique ou sociable — est toujours plus profondément agité par les émotions qu’il éprouve en commun.
Cette tragi-comédie, qu’on trouvait si brillante, n’était, selon lui, qu’un ver luisant : « Il en est de certaines pièces, dit-il, comme de certains animaux qui sont dans la nature, qui de loin semblent des étoiles et qui de près ne sont que des vermisseaux.
Elle vante cette philosophie « qui donne à la raison l’empire souverain, soumettant à ses lois la partie animale dont l’appétit grossier aux bêtes nous ravale ». — Tout cela est chez elle, partie jargon, partie affectation de bel esprit, partie hypocrisie de cœur.