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344. (1897) Le monde où l’on imprime « Chapitre XVII. Romans d’histoire, d’aventures et de voyages : Gebhart, Lemaître, Radiot, Élémir Bourges, Loti » pp. 201-217

Pour les romantiques anglais, ils valent dans le genre moins que les nôtres, avec l’aggravation d’avoir déplorablement trop produit. […] D’autres noms viennent : des grands poètes anglais du temps d’Élisabeth : Webster, Ben Jonson, Ford, Beaumont et Fletcher.

345. (1760) Réflexions sur la poésie

Les Anglais et les Italiens ont des vers sans rime, des inversions fréquentes et de toute espèce, des ellipses multipliées, la liberté d’accourcir et d’allonger les mots selon le besoin qu’ils en ont, enfin une grammaire beaucoup plus relâchée pour la poésie que pour la prose. […] Ne craignons pas d’assurer qu’il y a plus de mérite dans dix bons vers français, que dans trente Anglais ou Italiens.

346. (1885) Les œuvres et les hommes. Les critiques, ou les juges jugés. VI. « Guizot » pp. 201-215

Depuis que les Anglais qui avaient un Shakespeare chez eux sans se douter de ce que cela valait — un tel Koïnor ! — l’ont appris enfin, après deux siècles, ils se sont conduits en vrais Anglais et ils n’ont rien négligé pour faire à Shakespeare une histoire, et lui tailler la statue d’une biographie.

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