Krantz cite lui-même (p. 101), et, s’il est besoin, chemin faisant, j’en ajouterai quelques autres. […] Très naturellement il ajoute à ses modèles. […] Or quand il ajoute à son modèle, d’où lui vient ce qu’il y ajoute ? […] Il est possible, et je n’ai pas besoin d’ajouter qu’il est souhaitable. […] Stuart Mill n’ajoute pas un mot.

Elle prétendait même ajouter à ses critiques deux ou trois petites bagatelles . […] En hiver, lorsqu’il manquait de bois, il travaillait dans son lit, et la peur des courants d’air lui faisait ajouter sa culotte à son bonnet. […] Et il ajoutait que la maladie grave et douloureuse, qui le retenait au lit en ce moment, lui interdisait tout travail. […] Je m’empresse d’ajouter que cette constatation n’ôte rien au génie du grand poète et je m’en expliquerai. […] encore… Est-il possible de rien ajouter au sublime d’Athalie ?

Bourget aurait pu ajouter que la note bretonne de Le Goffic est moins purement individuelle que la note bressane de Vicaire ; ses deuils s’agrandissent de tous les deuils de sa race, et c’est l’amour de tout un peuple qui soupire et gémit dans ses amours, un long chœur de Bretonnes et de Bretons accompagnant son sanglot des leurs, alentis à travers l’Océan immense : Les Bretonnes au cœur tendre Pleurent au bord de la mer, Les Bretons au cœur amer Sont trop loin pour les entendre.