Paralysie progressive d’une faculté, on en aimerait mieux la mystérieuse apoplexie ! […] Les autres, et les plus beaux, ceux que les connaisseurs aiment le plus, ont leur coin de mensonge ou d’idéal exagéré ! […] On ne la prête pas plus que la femme qu’on aime ! […] » Grâce, il faut l’avouer, très-particulière et très-piquante encore : mais que je l’aimais bien mieux, mêlée à la honte de l’Adam du Joseph Delorme, rougissant de toutes les nudités de son âme et de son péché ! […] Mais j’aimerais bien mieux l’homme d’un jour qui, ce jour-là, eut du génie.
Il refusa, non point, je le crois, parce que c’était Talleyrand qui offrait, mais parce qu’il aimait mieux garder son coin, quand il n’y avait pas nécessité d’en sortir. […] J’aurais mieux aimé, même au nom du goût, que l’éloge de Napoléon restàt. […] Daunou, qui a trop vu Napoléon, ne les aime pas. […] Cet état n’est pas sans charme ; je ne sais qui a dit : « Étudier de mieux en mieux les choses qu’on sait, voir et revoir les gens qu’on aime, délices de la maturité. » M. […] Impatienté des objections de Daunou, il le fit taire en lui disant : « Vous, Daunou, je ne vous aime pas ; » et il se reprit, en disant : « Au reste, je n’aime personne… excepté ma femme et ma famille. » — « Et moi, répliqua Daunou, j’aime la république. » (Voir, sur l’opposition de Daunou au Consul dans les années du Tribunat, le Journal et Souvenirs de Stanislas Girardin, t.
Ses idées sur l’amour et la beauté, sur la mort et l’autre vie, sont telles que chacun les pressent, les rêve et les aime. […] Quoique jeune sur la terre, Je suis déjà solitaire Parmi ceux de ma saison : Et quand je dis en moi-même : Où sont ceux que mon cœur aime ? […] Entends pour eux les larmes de leurs frères, Prions pour eux, nous qu’ils ont tant aimé ! […] N’aiment-ils plus ?