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533. (1884) Les problèmes de l’esthétique contemporaine pp. -257

Bien plus, elle marque en nous une sorte d’amélioration morale : nous sommes vraiment meilleurs quand nous admirons ; nous nous sentons soulevés au-dessus de nous-mêmes, et capables peut-être d’actions devant lesquelles nous reculerions en temps ordinaire : l’âme se porte à la hauteur de ce qu’elle admire. […] Tout en goûtant l’art propre à notre époque et à notre milieu, nous restons capables d’admirer les idées et les œuvres d’un autre âge. […] Ce n’est en aucune façon la représentation du vent que nous admirons dans le bateau à voiles, c’est surtout l’apparence de la vie sous sa forme la plus charmante, sous sa forme ailée. […] À ce point de vue, il y a un beau bossu pour le sculpteur, comme il y a un beau cas de bosse pour le naturaliste qui admire la coordination des caractères. […] Vergalo, admiré sans réserve par MM. de Banville et Soulary, approuvé dans une certaine mesure par M. 

534. (1874) Premiers lundis. Tome II « Revue littéraire »

Trois nobles jouvenceaux les aimèrent : Jeune Amaury de haut lignage De Loïse est enamouré ; C’était bien le plus mignon page Qu’en Bourgogne on eût admiré.

535. (1781) Les trois siecles de la littérature françoise, ou tableau de l’esprit de nos écrivains depuis François I, jusqu’en 1781. Tome II « Les trois siècles de la littérature françoise. — C — article » pp. 23-32

Helvétius l’avant-veille du funeste accès de goutte qui l’enleva aux Lettres & à la Société ; il auroit pu lui apprendre encore, que…… Admirez, je vous prie, Monsieur, l’adresse avec laquelle le Libelliste tâche de répandre un air de vérité sur la double imputation qui m’a été faite par M. de Voltaire, & à laquelle j’ai déjà répondu.

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