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828. (1857) Causeries du lundi. Tome I (3e éd.) « Pensées, essais, maximes, et correspondance de M. Joubert. (2 vol.) » pp. 159-178

J’ai passé ensuite à Fénelon pour ses Dialogues sur l’éloquence et pour sa Lettre à l’Académie française ; je lisais en parcourant, en choisissant les points et en commentant toujours moyennant quelques exemples, et sans me retrancher au besoin les vivants. […] [NdA] Le 6 décembre, il y avait eu, à l’Académie française, grande séance de réception pour M. de Noailles, qui venait remplacer et célébrer M. de Chateaubriand ; M. 

829. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Vauvenargues. (Collection Lefèvre.) » pp. 123-143

Thiers a débuté par un Éloge de Vauvenargues, qui a remporté le prix à l’Académie d’Aix, et dont on ne connaît que des fragments remarquables par l’ampleur et l’intelligence. […] L’Académie française ayant proposé son éloge, M. 

830. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « Florian. (Fables illustrées.) » pp. 229-248

M. de Florian paraît avoir des lois somptuaires dans son style, et son sujet exigeait un peu de luxe. » Cet article de Rivarol était écrit au moment où Florian allait entrer à l’Académie, et ses amis se jetèrent à la traverse pour arrêter le coup qui aurait pu nuire. Florian, à qui tout souriait, fut reçu à l’Académie en 1788, à l’âge de trente-trois ans, en concurrence avec Vicq d’Azyr.

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