L’opinion de Molière est nette, tranchée, absolue. […] — j’entends amoureuse aimée..Vous sentez bien qu’il n’y a ici que des cas, mais pas de règle absolue. […] L’âme de cet énergique vaudeville, c’est la haine de l’amour, haine absolue et inexpiable. […] Même la scène est superbe, et il n’y en a point de plus belle dans la Recherche de l’absolu. […] DDon Jorge, c’est l’honneur absolu ; Jean Baudry c’est la charité absolue ; Louis Berteau, c’est la probité absolue.
Il n’aime pas le pouvoir absolu et il est janséniste. […] C’était la séparation absolue, et c’était, à mon avis, la loi la plus sensée qu’on ait jamais faite sur cet objet. […] Voilà pour moi la vérité absolue. […] Au point de vue des congrégations religieuses, despotisme absolu, proscription absolue. […] Brousse ; voir le mot de la Dépêche : « Aussi bien à leurs dévots qu’à leurs prêtres » — après avoir établi le monopole universitaire absolu, les anticléricaux en viendraient, dans le monopole même, dans l’Université, dans leur Université même, à établir et à faire régner un despotisme absolu et une absolue conformité et servilité à leur manière de voir, au credo qu’ils dicteraient.
» Il se convertit donc, premièrement, en haine de cette incertitude, parce que la spéculation philosophique, dont il est d’ailleurs peu capable, ne lui suffit pas ; parce qu’il lui faut une règle absolue de ses actes, et dont la sanction soit en dehors de lui : bref, il se convertit pour avoir la paix de la conscience. […] V Il fut un des grands catholiques de ce temps ; le plus grand peut-être, si l’on considère la puissance et l’ardente et amoureuse combativité de son talent ; le plus original, si l’on fait attention à l’absolue pureté de son catholicisme, rare et neuf par cette pureté même et cette simplicité. […] Et puis, par un sentiment que je conçois mal, j’ai toujours été tenté d’accorder sur moi, à ceux dont la foi est absolue, des droits que je ne me reconnais pas sur eux. […] Heureusement, d’ailleurs, les personnes de foi absolue n’ont pas toutes la même. […] » Selon Silvestre, « le renoncement au monde ne devait guère, en quelque façon, être moins absolu pour l’épouse chrétienne que pour la religieuse. » D’autres remarques vont loin : … On eût étonné Marianne en lui disant que l’instinct qui souffrait en elle n’était autre que la fierté.