Ces codes absolus, audacieuses synthèses qui prétendaient prévoir le génie et l’emprisonner d’avance dans leurs hautaines prescriptions, ne pouvaient résister à la marée montante des chefs-d’œuvre de tous les âges. […] Il prit pour sujet de son cours : Le fondement des idées absolues du vrai, du beau et du bien 16.
Me laisser éponger mon Moi par l’Absolu. Ou bien élixirer l’Absolu en moi-même.
Je ferai ici une simple remarque : c’est qu’ayant relu depuis peu la première édition des Maximes en la comparant à la dernière qu’a donnée l’auteur et qui est celle qu’on suit généralement, j’y ai trouvé assez de différences pour pouvoir affirmer que c’est la première seule qui contient toute la pensée de l’homme, pensée franche, absolue à l’origine, toute verte et toute crue, sans adoucissement, et qui, par la portée, va rejoindre d’autres systèmes moraux de date plus récente.