Il eut le sentiment de l’unité, d’accord en cela avec le vieux génie de Rome et avec le génie humain.
Tous, sans exception, agirent sous la pression de cette tassée d’hommes qui venaient derrière eux, et en qui, millions de poitrines haletantes de haine et d’envie, soufflait l’Esprit qui avait poussé Alaric à brûler Rome.
Il dit d’eux : C’étaient, à l’égard de Rome, « des incendiaires de désir », et on leur rendait leur incendie de désir par des incendies en réalité.