À Sparte, on les accoutumait aux exercices de la guerre ; à Rome, on exigeait d’elles des vertus austères et patriotiques.
Les négociations racontées dans ce premier volume sont celle de Parme, commencée sous le ministère de Richelieu, et celle de Rome, au conclave de 1656, qui ne finirent, ni l’une ni l’autre, dans le sens, d’abord voulu, des intérêts français.
Depuis ce moment-là, elle ne l’appela jamais que « ce malheureux homme », et elle fit dire pour lui une messe à Rome, quand le malheureux homme mourut à Sainte-Hélène.