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344. (1906) Les œuvres et les hommes. À côté de la grande histoire. XXI. « Les civilisations »

Et si l’on ne sait pourquoi — car on ne sait pourquoi — l’auteur y a mis Rome et la Grèce, il faut dire, à sa décharge, qu’il n’a pas écrit un mot sur ces civilisations qui n’ait déjà été écrit et qu’on ne sache. […] Avec les vertus qu’il a fait descendre dans leurs mœurs, il a fait descendre dans leurs arts, leurs sciences et leurs littératures, des inspirations inconnues, d’une beauté que les peuples les plus spirituels de la terre, comme la Grèce et Rome, ne soupçonnaient même pas !

345. (1905) Les œuvres et les hommes. De l’histoire. XX. « Jacques Cœur et Charles VII »

Diplomate, ambassadeur auprès d’Eugène IV, il eut la gloire d’aider à l’apaisement de ce grand Schisme contre lequel furent tenus les conciles de Bâle et de Constance, « en ce temps de si étrange et si horrible confusion — dit Mathieu — qu’on ne pouvait plus dire que Rome fût où était le Pape, comme on disait que là où était l’Empereur, là était Rome ; car il y avait un Pape en Espagne, un en France, et quelquefois deux en Italie ».

346. (1861) Les œuvres et les hommes. Les historiens politiques et littéraires. II. « XI. MM. Mignet et Pichot. Charles Quint, son abdication, son séjour et sa mort au monastère de Yuste. — Charles V, chronique de sa vie intérieure dans le cloître de Yuste » pp. 267-281

C’est toujours cet empereur qui a mis Rome à sac, autrefois, par la main du connétable de Bourbon, et qui, vieux, recommence sous Paul IV la guerre contre Rome avec l’ardeur de sa jeunesse.

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