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899. (1782) Essai sur les règnes de Claude et de Néron et sur la vie et les écrits de Sénèque pour servir d’introduction à la lecture de ce philosophe (1778-1782) « Essai, sur les règnes, de Claude et de Néron. Livre premier. » pp. 15-203

En France, ce ne fut ni dans la magistrature, ni dans l’art militaire, ni dans les académies, ni parmi le peuple, que Molière alla chercher le modèle de l’hypocrite.

900. (1895) La comédie littéraire. Notes et impressions de littérature pp. 3-379

Il en voulut à la Comédie-Française d’avoir joué Smilis, il lui en voulut d’avoir repoussé Lebonnard ; il joignit à cet ouvrage un prologue aristophanesque, dans lequel MM. les sociétaires, le comité de lecture et l’administrateur de la Maison de Molière étaient véhémentement déshonorés… En vain, quelques amis sincères conseillèrent-ils à M. 

901. (1898) Introduction aux études historiques pp. 17-281

Mais ce n’est qu’une apparence sous laquelle a vite fait de se glisser la scolastique, le mot, n’ayant pas de sens concret, devient une notion purement verbale (comme la vertu dormitive dont parle Molière).

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