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619. (1767) Salon de 1767 « Peintures — Doyen » pp. 178-191

Mais est-il bien sûr qu’il n’y ait pas autant de verve dans la première scène de Térence et dans l’ Antinoüs que dans aucune scène de Molière, dans aucun morceau de Michel-Ange ?

620. (1936) Histoire de la littérature française de 1789 à nos jours pp. -564

Un romancier comme Balzac, un poète dramatique comme Shakespeare ou Molière, Corneille ou Racine, s’accommodent parfaitement d’un maximum de situation et d’un minimum de présence.

621. (1907) Jean-Jacques Rousseau pp. 1-357

On objecte Molière. […] C’en est assez pour rendre Molière inexcusable. […] Mais, au contraire, Molière inquiète Brunetière parce qu’il a été le disciple de la nature. En sorte qu’on ne sait pas s’il faut reprocher à Molière d’avoir adoré la nature ou de l’avoir dédaignée. […] — Je ne parle point de Corneille, de Racine, de Molière, ni même de Regnard.

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