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250. (1889) Histoire de la littérature française. Tome III (16e éd.) « Chapitre douzième. »

La morale de La Bruyère, c’est celle de Montaigne, de Molière, de La Fontaine, de Boileau ; c’est tout ensemble une grande liberté d’observation, qui reste d’ailleurs dans les limites de la convenance, et une certaine indifférence qui laisse à chacun ses défauts, et qui paraît satisfaite qu’un homme imparfait ne soit pas pire. […] Molière y a excellé. […] La Bruyère, comme Molière et Voltaire, est un enfant de Paris.

251. (1857) Causeries du lundi. Tome III (3e éd.) « La duchesse du Maine. » pp. 206-228

On conçoit qu’il était digne d’être à la fois le Molière, le Descartes et le Pythagore du royaume de Lilliput. […] Il demande à cor et à cri une autre signature : « J’ai presque usé la première, écrit-il, sur votre permission » — Ô Molière, le Molière des Précieuses, où étais-tu ?

252. (1868) Curiosités esthétiques « VII. Quelques caricaturistes français » pp. 389-419

C’était pour eux un scandale aussi grand que l’absence de Molière à l’Académie. […] La Satire Ménippée céda le terrain à Molière, et la grande épopée de Robert Macaire, racontée par Daumier d’une manière flambante, succéda aux colères révolutionnaires et aux dessins allusionnels. […] Quant au moral, Daumier a quelques rapports avec Molière.

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