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163. (1890) Impressions de théâtre. Quatrième série

Il a félicité Molière d’être un si mauvais chrétien. […] Molière déteste-t-il si fort les médecins ? […] Coquelin qui traduise le mieux l’intention de Molière, et qui rende le plus fidèlement l’allure et tout l’extérieur du personnage, tel que Molière lui-même se le représentait avec une complaisance haineuse. […] L’opinion de Molière est nette, tranchée, absolue. […] Je sais bien que Molière se mit lui-même dans le cas d’Arnolphe.

164. (1860) Ceci n’est pas un livre « Les arrière-petits-fils. Sotie parisienne — Deuxième tableau » pp. 196-209

ce zéro n’est point un imposteur… Avec une pièce du vieux répertoire qui n’est pas de Molière ! […] Vous avez devant vous Anatole-Isidore Regnard, l’arrière-petit-fils de l’immortel auteur du Légataire et du Joueur, — de l’émule de Molière enfin !

165. (1895) Hommes et livres

Sans elle nous ne saurions passer de Molière, de Regnard, de Dancourt, à MM.  […] Après Molière, on s’enfonça dans la même voie, on descendit plus bas. […] Au reste, Molière le dépassait trop pour qu’il le comprît. […] Assurément, et cela tient sans doute au génie de Molière. […] De nos jours les vrais héritiers de Molière sont relégués au Palais-Royal, tandis que la postérité inconsciente, mais authentique, de La Chaussée, a envahi la maison de Molière.

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