Aussi, quoique les belles vies n’aient pas besoin d’un autre souvenir que celui de Dieu, on a toujours cherché à fixer leur image. […] Il n’admet pas que l’on confonde Dieu avec la Nature, si proche qu’elle soit de lui, organisateur immuable de la nature qui se modifie sans cesse. […] » — Les véritables destinées de Dieu ! […] » — Mais il est écrit que Dieu, en six journées… » — Non pas Dieu ! […] L’épopée ne pouvait échapper à ce doute gouailleur qui n’épargnait pas Dieu lui-même.
Au culte d’un Dieu elle substituera le culte de la Bonne Humanité. […] Il n’a eu garde, dans ce retour vers Dieu, de suivre les voies ordinaires. […] Dieu seul peut condamner. […] Il est beaucoup parlé de Dieu dans les Morticoles. […] Il est un « ascète sans Dieu ». — Hippolyte a la beauté qui séduit et qui pourtant est imparfaite.
Je suis jeune ; la pourpre en mes veines abonde ; Mes cheveux sont de jais et mes regards de feu, Et, sans gravier ni toux, ma poitrine profonde Aspire à pleins poumons l’air du ciel, l’air de Dieu.