Pendant tout le cours violent de la Révolution française, l’art se tut ; il existait moins que jamais à part ; sa personnalité était comme abîmée et anéantie en présence des incomparables événements qui consternaient ou emportaient les âmes.
Presque toutes les liturgies relatives aux événements de la famille, au baptême, au mariage, etc., contiennent des mots ou même des portions de dialogue en langue vulgaire dont il faudrait faire le relevé.
D’autre part, ce livre lugubre ne nous raconte que des événements heureux, et c’est par là qu’il est rare et original.