Que nous sommes loin, ici, de cette critique myope qui se perd dans les commérages, ou de cette autre qui, en voulant régenter de trop haut les contrées et les époques, perd de vue les individus ! […] Né dans un siècle orageux, il a vu plusieurs révolutions, il a traversé des époques troublées, sans que la fidélité de son patriotisme ait jamais cédé au contrecoup de nos discordes.
Pour remplir les salons, il faut un certain état politique, et cet état, qui est la suprématie du roi jointe à la régularité de la police, s’établissait à la même époque des deux côtés du détroit.
Il peut le choisir seulement pour l’utilité des faits ou comme une époque de l’état et des progrès de l’esprit dans certains siecles.