En 1838, au mois d’août, un entrepreneur de théâtre eut l’idée d’engager quelques acteurs français pour jouer à l’époque du sacre de l’empereur Ferdinand (à titre de roi de Lombardie), qui devait se faire à Milan et y attirer une foule d’étrangers.
À l’époque où les armées campaient réunies sous la tente, il eût été le plus grand général de bataille de son siècle, parce qu’il aurait toujours vu l’ennemi enface ; de nos jours, où les mouvements compliqués se préparent dans le cabinet, il était sujet à faillir… » Ailleurs, parlant en son propre nom, Jomini a écrit : « Les qualités qui distinguent un bon général d’arrière-garde ne sont pas communes.
Sa Critique générale de l’Histoire du Calvinisme du Père Maimbourg parut cette même année 1682, et jusqu’en décembre 1706, époque de sa mort, sa carrière, à l’ombre de la statue d’Érasme, ne fut plus marquée que par des écrits, des controverses littéraires ou philosophiques ; après ses disputes de plume avec Jurieu, Le Clerc, Bernard et Jaquelot, après son petit démêlé avec le domestique chatouilleux de la reine Christine, les plus graves événements pour lui furent ses déménagements (en 1688 et en 1692), qui lui brouillaient ses livres et ses papiers.