Quant à votre Alfred Fabre-Luce, il est d’autant plus impardonnable qu’il était le mieux élevé… » Mon Fabre-Luce, ah, laissons-le faire lui-même sa fortune ! […] Élevée, en 1921, contre le chevet de l’église Saint-Jean dont l’abside fut détruite en 1811.
La perdrix aime les collines fertiles, Le pluvier aime les montagnes, La bécasse hante les vallées solitaires, Le héron au vol élevé, les fontaines ; À travers les hautes futaies le ramier erre Pour éviter les sentiers de l’homme ; Le buisson de noisetier abrite la grive, Et l’épine épandue le linot. […] Contre cette monade, La Mettrie protestait, en grognant : « Les Leibnitiens, avec leurs Monades, ont élevé une hypothèse inintelligible.
Floris, fils du grand-duc Fédor et de la grande-duchesse Maria-Pia, persécuté par la jalousie forcenée d’une rivale de sa mère, a été enlevé dès sa naissance et pauvrement élevé sous un faux nom. […] Qu’élevé à l’ombre des sanctuaires, il y soit rentré sur ses vieux jours, il n’y a rien là que de normal : c’est ce qui arrive à la plupart des gens d’origine pieuse qui ne s’étaient détournés de l’exercice du culte dans leur jeunesse que pour se permettre une vie plus libre, sans adhérer délibérément à la libre pensée. […] « Depuis mille ans que l’empire romain, affaibli surtout par la corruption des mœurs, avait commencé à déchoir de ce haut point de grandeur où des vertus héroïques et la fortune l’avaient élevé, l’Italie n’avait jamais été si florissante ni si paisible qu’elle l’était vers l’année 1490. » Ainsi s’exprime Guichardin que cite M.